« Tant qu’on a la santé », Sociétal, n° 66, 2009, pp. 127-133.

Davantage que la pauvreté, les inégalités seraient à l’origine de la plupart des problèmes sociaux et sanitaires. Cette thèse ressort aujourd’hui renforcée – ce qui fera plaisir aux tenants de l’égalitarisme (plus ou moins radical) – par des compilations et comparaisons de données internationales et infranationales (en particulier aux Etats-Unis). Si l’accumulation d’informations et de corrélations ne peut laisser insensible, l’intégrisme anti-inégalités a cependant des limites.

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