Quel rôle les économistes ont-ils joué dans la crise ? Question récurrente depuis le choc des « subprime ». Trois ouvrages anglo-saxons rouvrent le débat.
Quel rôle les économistes ont-ils joué dans la crise ? Question récurrente depuis le choc des « subprime ». Trois ouvrages anglo-saxons rouvrent le débat.
Alors que l’urbanisation continue à partout progresser, en termes de consommation des espaces et, surtout, de mœurs et modes de vie, les villes sont l’objet de toutes les attentions. Quelles priorités dans leur gestion ? Quelles formes urbaines privilégier ? Qu’attendre de ces créations humaines longtemps décriées et maintenant célébrées, notamment pour leur créativité et leur dynamisme économique ?
Comment sont nés les économistes ? Quelles sont les idées vraies et fausses en économie ? La croissance est-elle prédéterminée ? Trois livres percutants.
Un spectre hante la société française : le déclassement. Le concept est assez riche pour désigner des phénomènes différents, mais convergents, et pour appeler, en raison de sa relative nouveauté, une réflexion innovante sur un État providence bien incapable d’assurer ce qu’il promettait : une certaine sécurité de destin.
La rationalité de l’agent économique qui sommeille en chacun d’entre nous est sévèrement remise en cause. Il ne s’agit pas seulement de l’aveuglement collectif qui a débouché sur la crise que l’on sait. Certains économistes remettent désormais en question la théorie du choix rationnel (TCR). Ces trois livres en anglais en témoignent.