Davantage que la pauvreté, les inégalités seraient à l’origine de la plupart des problèmes sociaux et sanitaires. Cette thèse ressort aujourd’hui renforcée – ce qui fera plaisir aux tenants de l’égalitarisme (plus ou moins radical) – par des compilations et comparaisons de données internationales et infranationales (en particulier aux Etats-Unis). Si l’accumulation d’informations et de corrélations ne peut laisser insensible, l’intégrisme anti-inégalités a cependant des limites.